Cette accord commercial place Lisbonne sous la dépendance de Londres. Les Portugais achètent aux Anglais des produits manufacturés qu’ils payent en or. Ils concèdent également aux commerçants anglais des licences pour s’installer dans les ports brésiliens où ils déchargent des marchandises […] et repartent avec du tabac, du bois, du cacao, des piments et souvent en guise de paiements, du sucre, de l’or et des diamants.
Sources : Michel FAURE, in « Une histoire du Brésil », éditions Perrin, 2016
