Humilié, le « Napoléon africain » est exhibé à travers toutes les contrées sur lesquelles autrefois il avait régné en maître, puis condamné à l’exil sur l’île de Missanga, au Gabon. C’est là qu’il décède deux ans plus tard, victime d’une pneumonie, suite au strict régime pénitentiaire qui lui avait été imposé.
Sources : Valérie Kubiak, GEOHISTOIRE n° 24, « L’Afrique au temps des colonies », déc. 2015 – jan. 2016
